MONSIEUR BELFOND
Vous n'existez sans doute pas, et c'est tant mieux, car vous n'allez pas aimer la suite.
Je ne suis qu'un modeste auteur provincial, dont l'orthographe laisse à désirer, (voir note précédente,) mais vous, vous êtes une structure avec pignon sur rue, et vous n'avez absolument pas le droit d'écrire "étrécis" à la place de rétrécis", (page 254 de "Dans les bois" de Harlan Coben.) Tout le monde a le droit à l'erreur, mais à la page 292, il serait décent d'écrire "vou" avec un "s" et Il me semble que "etait" sonnerait mieux avec un "é", mais je suppose que c'est une question de goût. En revanche, à la page 362, "l'odeur qui lui est montee au visage", laisse vraiment à désirer.
Mais si moi, Anglaise à l'orthographe fantaisiste, ai trouvé ces petites choses qui fâchent, combien d'autres coquilles dorment encore "dans les bois" ?
Et je n'ai pas fini.
Lorsque l'on a la chance de publier Harlan Coben, on s'offre un traducteur qui n'a pas mangé de tapioca à tous les repas.
Sincerely yours
Un écrivain désespéré.
P.S. Il vaut mieux lire un Harlan coben mal traduit, qu'un "vous savez qui" (lire note précédente,) en français dans le texte.